A Dijon, le marché immobilier se réveille 1

A Dijon, le marché immobilier se réveille


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Dans l’hypercentre historique de Dijon, les grands appartements familiaux valent généralement entre 2 500 et 2 700 euros le mètre carré.

Les prix de l’immobilier à Dijon (Côte-d’Or), longtemps restés stables, progressent doucement ces dernières années. Qu’il s’agisse de maisons avec jardin, de grands appartements de caractère ou de petites surfaces locatives, la ville offre un large choix à qui cherche à acheter un logement.

« Quand le prix affiché est cohérent, les délais de vente sont courts », constate Jean-François Buet, gérant de Buet Immobilier. Pour les investisseurs, la ville affiche une rentabilité intéressante, en moyenne entre 5 % et 6 % brut, avec un risque modéré.

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Pour une valeur sûre, il faut privilégier le centre, entre les quatre places Darcy, de la République, du 30-Octobre et du Président-Wilson. Dans ce secteur recherché, « au début du premier semestre, les prix se sont un peu emballés et les biens se vendaient dans les fourchettes hautes d’estimation », précise M. Buet. Depuis la mi-juin, cette petite poussée de fièvre a cependant pris fin et les acquéreurs négocient si les tarifs sont trop élevés.

Victor-Hugo et Montchapet

Dans l’hypercentre historique, les grands appartements familiaux valent généralement entre 2 500 et 2 700 euros le mètre carré. Ceux qui souhaitent une maison avec jardin prospecteront un peu plus au nord, dans le quartier Victor-Hugo, plus calme. Les bâtisses récentes de 140 m2 avec jardin et garage se vendent 500 000 euros, en moyenne. Plus grandes et avec du cachet, elles peuvent dépasser les 700 000 euros.

Plus accessible, le quartier Montchapet offre une alternative ; les maisons de ville des années 1930, souvent sans garage, y valent entre 350 000 et 410 000 euros. Sinon, au sud, « autour du parc Chevreul, les bâtisses des années 1930 à 1950 se trouvent entre 300 000 et 400 000 euros », explique Catherine Vandriesse, directrice générale de Keller Williams-Cogim et Parisel.

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Le centre-ville est à privilégier pour les investisseurs aussi car il compte beaucoup de grands studios de 30 m2 et deux-pièces. « Ils valent entre 2 800 et 3 200 euros le mètre carré selon leur état et leur surface », précise Mme Vandriesse. Une fois rénovés, ces biens se louent généralement entre 11,50 et 12,50 euros le mètre carré par mois avec un bail nu, et plutôt de 12,50 à 14 euros s’ils sont proposés en meublé de long terme.

Dans ce quartier, les couples d’actifs urbains et les jeunes familles louent aussi des trois-pièces autour de 600 euros par mois, vous pouvez donc en acheter un sans prendre trop de risque.

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